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Imagerie du menisque

Docteur Nicolas LEFEVRE.

L'objectif principal de cette étude était de présenter une synthèse de la littérature actuelle afin de fournir un outil utile pour des cliniciens dans l'analyse radiologique du ménisque. L’imagerie par résonance magnétique (IRM) est la méthode la plus précise et la moins  invasive pour le diagnostic des lésions méniscales. Cette technique a révolutionné l’imagerie du genou et est devenu le « gold standard » de l’imagerie du ménisque. Elle permet de confirmer et de caractériser la lésion méniscale, son type, son extension, son association éventuelle à un kyste, l’extrusion méniscale,  l’évaluation du cartilage et de l’os sous-chondral.  Toutes les descriptions anatomiques ont été clairement illustrés dans cet article  par des images IRM,  arthroscopique et / ou dessins.  Nous avons également décrit  la radiographie standard  pour les diagnostiques différentiels comme l’arthrose. L'échographie est rarement utilisé comme un outil de diagnostic pour les pathologies méniscales. L’arthroscanner avec reconstructions multiplanaires peut détecter certaines fissures méniscal non visible à l'IRM. L’arthroscanner est également utile en cas de contre-IRM, dans l'évaluation post-opératoire de sutures méniscales ou pour l’analyse  du cartilage recouvrant les surfaces articulaires.

L'IRM reste la méthode la plus précise et moins invasive pour le diagnostic de lésions méniscales.  Les nouvelles IRM 3D en trois dimensions avec une résolution isotropique  permettent  la création d'images reformatées multiplanaires, afin d'obtenir à partir d'une acquisition dans un seul plan de coupe, des reconstructions dans les autres plans de l'espace. L’IRM 3D devrait permettre d’améliorer encore le diagnostique des lésions méniscales

Cet article décrit l'imagerie IRM de toutes les lésions méniscales.

 

nouveau ligament du genou chirurgiedusport herman lefevre bohu

Un « nouveau » ligament du genou ?

Par les Docteur Yoann BOHU, Docteur Nicolas LEFEVRE, Docteur Serge HERMAN.

Mise au point - Un récent article d’anatomie a mis en lumière la présence d’un ligament dans le genou. En fait, il s’agit d’un ensemble de fibres qui sont appelées « fibres de Kaplan » ou « ilio tibial tract » en anglais...


PRP – concentrés plaquettaires Dossier scientifique

Docteur Yves GUGLIELMETTI.

L’utilisation du PRP s’est largement répandue en traumatologie du sport depuis une dizaine d’années, comme alternative à la chirurgie ou comme adjuvant chirurgical. Des succès, très médiatisés, chez des sportifs de haut niveau puis la suppression de la liste des substances et méthodes interdites par l’AMA fin 2010 ont fait littéralement flamber l’attrait pour cette technique.

 

L’absence d’effets secondaires et une excellente tolérance, font de l’injection de PRP, réalisée dans des conditions rigoureuses, une technique d’une grande sureté.

 

Dans l’état actuel de nos connaissances, l’efficacité du traitement par PRP n’est plus à démontrer dans le traitement des lésions cartilagineuses (7 études à haut niveau de preuve), supérieure à l’acide hyaluronique.

 

Le guidage échographique et une bonne gestion de la douleur (antalgigue de pallier 1 ou 2, MEOPA) sont essentiels dans l’injection des lésions tendineuses et musculaires mais rarement nécessaire dans l’injection articulaire peu douloureuse.

 

Les traitements différent beaucoup d’un praticien à l’autre, en terme de concentration plaquettaire, de richesse en cellules (érythrocytes, leucocytes), de repérage échographique, de gestion de la douleur, du nombre de séances et d’accompagnement. Il est essentiel de mieux définir les protocoles par des études comparatives.

 

La phase de rééducation et le reconditionnement à l’effort est une étape essentielle, souvent négligée quand le PRP est présenté comme un remède miracle !

 

Programme de prévention des blessures et amélioration de la performance : PEP program

Par les Docteur Yoann BOHU, Docteur Nicolas LEFEVRE, Docteur Serge HERMAN.

 

Un programme d'exercices de prévention des blessures et d'amélioration de la perforamnce pour le sportif, PEP PROGRAM : Prevention injury and Enhance Performance

Réparation du ligament croise antérieur : ligamentoplastie au tendon rotulien, technique KJ (kenneth – jones)

Par les Docteur Nicolas LEFEVRE, Docteur Serge HERMAN, Docteur Yoan BOHU.

Intervention chirurgicale: Le principe de l’opération est de réparer le ligament croisé antérieur (LCA) rompu par une autogreffe os tendon os prélevée sur le tendon rotulien. Intervention réalisé sous anesthésie locorégionale ou générale avec un garrot. 

Je viens d’apprendre que j’ai une rupture totale de mon ligament croisé (LCA)

Par le Docteur Yves GUGLIELMETTI.

ACCIDENT DE SKI: entorse du genou

Le diagnostic a été évoqué par votre médecin de montagne ou déjà confirmé par l’IRM, il n’est pas urgent de prendre une décision chirurgicale.

Arthroscopie du genou : traitement de la lésion du ménisque

Par les Docteur Nicolas LEFEVRE, Docteur Serge HERMAN, Docteur Yoann BOHU

Ménisque - L’arthroscopie du genou est la technique de référence des lésions méniscales du genou. L’objectif est de traiter la lésion méniscale (déchirure, fissure, languette, anse de seau …) en étant le moins traumatique possible pour le genou et le plus conservateur pour le ménisque.

 

La fiche_de_la_ligamentoplastie_type_KJ_kenneth_jones_chirurgiedusport.jpg

Technique opératoire de la ligamentoplastie de type KJ ou Kenneth-Jones (la fiche en image)

Par les Docteur Nicolas LEFEVRE, Docteur Serge HERMAN,Docteur Yoann BOHU.

 
Fiche technique de la ligamentoplastie du ligament croise antérieur (LCA) selon la technique kenneth-jones  ou KJ description schématique de cette opération qui consiste à réaliser une reconstruction anatomique du LCA, en utilisant une autogreffe (tendon du patient) sous contrôle arthroscopique

 

Ligament latéral externe du genou

Par les Docteur Nicolas LEFEVRE, Docteur Yoan BOHU, Docteur Serge HERMAN.

Ligament latéral externe ( LLE )
Ligament de la face externe du genou
Ligament court, fin et tubulaire
Il est tendu entre le fémur en haut
et la tête du péroné en bas
Il permet la stabilisation externe du genou

Anatomie du genou, ligament croisé antérieur, ligament interne et externe, ménisque : schéma du genou.

 

Anatomie du genou, ligament croisé antérieur, ligament interne et externe, ménisque : schéma du genou.

Par les Docteur Nicolas LEFEVRE, Docteur Serge HERMAN, Docteur Yoan BOHU.

En haut se trouve le fémur, l’os de la cuisse. En bas, il y a le tibia, l’os de la jambe. Le bas du fémur est plutôt rond et le haut du tibia apparaît beaucoup plus plat. Les ménisques sont des petites cales situées entre les deux os du genou.

Traitement de la languette méniscale: image arthroscopique

Par les Docteur Nicolas LEFEVRE, Docteur Serge HERMAN, Docteur Yoan BOHU.

La régularisation de la languette du ménisque est réalisée sous arthroscopie. Cette régularisation est faite à l’aide de petits instruments.

fiche ligament didt systeme TLS ou DT4 TLS

Ligamentoplastie du ligament croise antérieur (LCA) selon la technique DIDT TLS ou DT4 TLS: la fiche

Par le Docteur Nicolas LEFEVRE.

L’objectif de cette opération est de réaliser une reconstruction anatomique du LCA, en utilisant une autogreffe (tendon du patient) sous contrôle arthroscopique. Le principe de TLS est d’utiliser un seul tendon ischio-jambier en greffe courte. Fiche technique de la ligamentoplastie du LCA au DIDT TLS.

Anatomie_cheville_ligament_lateral_externe ASTRAGALE CALCANEUM

Anatomie de la cheville: ligament latéral externe.

Par les Docteur Nicolas LEFEVRE, Docteur Serge HERMAN, Docteur Stéphane CASCUA.

Il existe deux ligaments principaux au niveau de la cheville, un ligament latéral externe (LLE) et un ligament latéral interne (LLI) situés de chaque côté de la cheville, ils sont tendus entre le tibia/péroné en haut....

L'os se renforce ou fissure au contact du sport

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Chaque mouvement sportif constitue une sollicitation pour la structure osseuse. A chaque réception de foulée, le tibia du coureur de fond subit des impacts vibratoires. En déroulant le pas, le randonneur tord légèrement les petits os de son pied. Même le body-builders, en contractant puissamment ses muscles, tire sur son tissu osseux.

Chacun de ces microtraumatismes lèse un peu l’os du sportif. Heureusement, au cours de la période de repos, l’os tente de se reconstruire. S’il dispose du temps nécessaire, si on lui apporte les aliments indispensables, il se répare ! Il se reconstitue même plus fort qu’auparavant comme s’il voulait se préparer à de nouvelles agressions mécaniques. Ce phénomène est appelé par les entraîneurs le cycle de décompensation / surcompensation . Ce processus a été décrit au sein de nombreux organes et fonctions physiologiques : les muscles, le stock en énergie, les hormones, etc. Il est un moteur essentiel de progression.

Ainsi, il a été démontré que le marathonien bien entraîné avait des os plus solides qu’un sédentaire. En effet, sa structure osseuse plus dense, plus riche en fibres et en calcium. De plus, l’architecture microscopique de son os est parfaitement orientée dans l’axe des contraintes mécaniques.

En effet, la structure chimique de l’os est comparable a du béton armé. Le réseau de protéine représente les tiges en acier. Le calcium est comparable au béton qui englue ces axes métalliques. Au niveau de la hanche et du bassin la direction de la trame osseuse est tout à fait caractéristique. Sur une radiographie, on constate que les fibres partent du fémur, l’os de la cuisse, basculent vers l’intérieur, entrent de col du fémur pour résister au poids du corps posé sur les hanches. Les lignes de force en provenance de la jambe droite et de la jambe gauche se rejoignent au milieu du bassin et se soutiennent mutuellement à la manière de la nef d’une église.

L’activité physique associée à une alimentation suffisamment riche en protéines, en vitamine D et en calcium est un formidable moteur de la construction osseuse. Ce cocktail se montre particulièrement utile aux périodes charnière de la vie. Pendant la croissance, Il est nécessaire de manger 4 à 5 produits laitiers chaque jour pour édifier un os solide. Il faut également bouger : il est indispensable de pratiquer un sport imposant de la course et des sauts au moins 3 fois par semaines pendant 30 minutes. En l’absence d’impact, les os durcissent moins. Il a été démontré qu’un jeune nageur de compétition avait une densité osseuse plus faible qu’un sédentaire car il était privé de la gravitation pendant ces longues heures d’entraînement en piscine. De plus, la densification osseuse s’arrête à 25 ans. A cet âge vous avez constitué votre capital osseux pour la vie entière !

A l’âge adulte, le sport renforce très difficilement le tissu osseux et la quantité de calcium nécessaire à l’entretien de l’os est encore débattu. En cas de fracture, le repos de la zone brisée est nécessaire quelques semaines pour permettre d’ « engluer » la zone brisée. Au-delà, des sollicitations mécaniques progressivement croissantes se révèlent indispensables pour « mécaniser » le cal osseux. Là encore, elles permettent d’orienter la trame de l’os dans l’axe des contraintes afin de le préparer à sa mission. Une augmentation de l’apport en calcium en période de consolidation est proposée par certains médecins sans que son intérêt n'ait été vraiment démontré.

Après la ménopause, la trame osseuse se dégrade peu à peu jusqu’à rendre l’os fragile : c’est l’ostéoporose. Mesdemoiselles, souvenez-vous, votre résistance à la fracture du col du fémur dépend de votre alimentation et de votre pratique sportive avant 25 ans ! Si l’activité physique après la ménopause ne permet plus de densifier les os, elle réduit la perte de tissu osseux. Alors, il est conseillé de marcher voir de sautiller ou de trottiner. Il est bon aussi de faire de la gym douce pour entretenir la résistance des os à la traction. Afin de profiter au mieux de cette stimulation, il est à nouveau nécessaire de prendre 4 à 5 produits laitiers quotidiennement. Il faut également sortir tous les jours pour profiter du soleil et faire de la vitamine D indispensable à l’absorption et à la fixation du calcium. Les sports de coordination douce comme le Thaï Chi ou les « ateliers équilibre » ont prouvé leur efficacité pour diminuer le risque de chute et de fracture.

Si l’activité sportive est excessive, les microfissures provoquées par les impacts sur les os ne parviennent pas à consolider au cours du repos. Au contraire, ces lésions s’aggravent à l’entraînement suivant. Finalement l’os de fend de part en part, il se casse sans aucun traumatisme violent. C’est la fracture de fatigue. Chez une femme ménopausée, il a été mis en évidence que 6 heures de sport en charge par semaine pouvaient suffire pour briser insidieusement les os. Chez l’adulte plus jeune, ce type de blessure est favorisé par les carences alimentaires et les dérèglements hormonaux. Le manque de calcium, de vitamine D et de protéines altère la reconstruction de l’os victime de microfissures à l’exercice. Une insuffisance en hormones sexuelles diminue la stimulation des usines chimiques microscopiques chargées d’assurer la synthèse du tissu osseux. Ces altérations fonctionnelles se rencontrent en cas d’épuisement profond de l’organisme. Ce genre de surmenage est plus souvent diagnostiqué chez les femmes car il provoque des irrégularités du cycle menstruel puis une disparition des règles. La victime se retrouve en état de « ménopause précoce ». Chez l’homme cette souffrance hormonale est plus insidieuse mais elle existe et ses conséquences sur la densité osseuse sont comparables. Le cocktail surmenage sportif, carences alimentaires et disparition des règles se retrouve classiquement chez la jeune femme anorexique. Face à une fracture de fatigue, le médecin du sport se doit de rester vigilant. Il ne doit pas se contenter de soigner un « os ». Il a pour obligation de prendre en charge un individu dans sa globalité, il a pour mission de rechercher un surentraînement ou des troubles du comportement.



L'iroman manque de fer, les autres sportifs aussi !

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Le fer est indispensable à votre santé et votre performance. Il constitue un élément central de l'hémoglobine. Cette dernière est contenue dans les globules rouges et lui donne sa couleur. C'est le fer qui capte l'oxygène lorsque le sang traverse les poumons. Il véhicule ce gaz précieux jusqu'aux muscles. Arrivé à destination, il largue sa cargaison qui permet alors la combustion des substances énergétiques et la contraction musculaire.

Quand vous courrez ou lorsque vous sautez, vos talons frappent le sol et le coussinet graisseux de votre plante du pied est écrasé. Il est traversé de nombreux vaisseaux sanguins. Les globules rouges présents éclatent et libèrent leurs hémoglobines. Le fer est libéré dans le sang et passe dans les urines.

Le muscle contient une sœur jumelle de l'hémoglobine, la myoglobine. Cette dernière, contient aussi beaucoup de fer qui fixe un peu d'oxygène. Cette petite réserve locale permet de débuter la contraction avant que les vaisseaux sanguins n'apportent le complément nécessaire. Quand vous ressentez des courbatures, vos membranes musculaires sont victimes de microdéchirures. La myoglobine et le fer quitte le muscle et gagne le sang. Le précieux métal est éliminé par voie urinaire.

Quand vous faites un effort, la majorité de flux sanguin s'oriente vers vos muscles. Il n'en reste que très peu pour le tube digestif et la paroi de la vessie. Ces organes souffrent du manque d'oxygénation et sont secoués à chaque foulée. De petites zones s'abîment et se mettent à saigner. Des globules rouges et du fer sont perdus dans les matières fécales et dans les urines.

Vous saisissez pourquoi les sportifs assidus manquent souvent de fer, surtout s'ils ne prennent pas soin de se concocter des « menus et recettes » adaptées. Les sportives sont encore plus concernées puisque à toutes ces pertes de fer s'ajoutent l'élimination massive de sang pendant les règles ! 

Voilà pourquoi, il est bon de réaliser occasionnellement une prise de sang pour évaluer le stock en fer de l'organisme. Ce prélèvement s'impose quand il s'agit de faire le point sur un état de fatigue. Il inutile de doser le fer circulant dans le sang car le corps parvient à le conserver dans les limites de la normale alors que les réserves sont au plus bas ! Il faut mesurer le taux de « ferritinémie » car cette structure constitue la forme de réserve du fer.

Technique du ligament croisé

Par le docteur Nicolas Lefevre

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